Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina : 676 000 personnes ont besoin d’une aide alimentaire entre juin et août 2019, selon la FAO
23 mars 2019, 18:26, par
paul
Le Burkina Faso peut nourrir ces 676.000 personnes d’après les derniers chiffres de la campagne agricole et, si on ajoute la campagne de contre saison, je ne vois pas pourquoi on ne le fait pas ! Il suffit de s’organiser pour le faire. Mais, comme d’habitude, on va jouer au garibou pour avoir quelques sous des PTF et quelques milliers de tonnes de riz et autres denrées alimentaires pour subvenir aux besoins de ces personnes dans le besoin au lieu que l’état achète suffisamment d’aliments auprès de nos braves producteurs pour les encourager à produire plus. Il est temps de changer de paradigme mais pour cela il faudrait reformater nos mentalités pour enfin comprendre que nous sommes indépendant depuis presque 60 ans ! Mettons nous au travail et sortons de notre mentalité d’assisté permanent. Sankara disait déjà il y a plus de 30 ans : « L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur".
Le Burkina Faso peut nourrir ces 676.000 personnes d’après les derniers chiffres de la campagne agricole et, si on ajoute la campagne de contre saison, je ne vois pas pourquoi on ne le fait pas ! Il suffit de s’organiser pour le faire. Mais, comme d’habitude, on va jouer au garibou pour avoir quelques sous des PTF et quelques milliers de tonnes de riz et autres denrées alimentaires pour subvenir aux besoins de ces personnes dans le besoin au lieu que l’état achète suffisamment d’aliments auprès de nos braves producteurs pour les encourager à produire plus. Il est temps de changer de paradigme mais pour cela il faudrait reformater nos mentalités pour enfin comprendre que nous sommes indépendant depuis presque 60 ans ! Mettons nous au travail et sortons de notre mentalité d’assisté permanent. Sankara disait déjà il y a plus de 30 ans : « L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur".