Neutralisation de terroristes en février 2019 : Le gouvernement rassure le MBDHP
14 mars 2019, 16:56, par
Neekre
Nos forces armées ne sont pas une horde de bandits et dans leur difficile et noble engagement, les règles d’engagement et le droit international humanitaire doivent leur être rappelés pour que nous sortions victorieux la tête haute. Il est clair que dans tout conflit de ce genre, il ne peut pas ne pas avoir de victimes collatérales et le devoir de l’Etat et des institutions est de travailler à minimiser ces victimes collatérales. Aussi bien à Kain et a Yirgou, les communautés aussi ont failli dans leur devoir. Car labas, la majorité n’est pas certes terroriste, mais il faut accepter reconnaître qu’il y a bien des terroristes qui sont connus de beaucoup de personnes mais gardent le silence d’ou une complicité passive. Je n’y suis pas mais je suis sur qu’il y a des terroristes qui après leurs attaques rentrent dormir avec femmes et enfants, a quelques kilomètre d’où ils ont commis leur forfait. C’est en cela que l’Etat est interpellé mais les communautés doivent apporter leur pierre au retour la paix.
Nos forces armées ne sont pas une horde de bandits et dans leur difficile et noble engagement, les règles d’engagement et le droit international humanitaire doivent leur être rappelés pour que nous sortions victorieux la tête haute. Il est clair que dans tout conflit de ce genre, il ne peut pas ne pas avoir de victimes collatérales et le devoir de l’Etat et des institutions est de travailler à minimiser ces victimes collatérales. Aussi bien à Kain et a Yirgou, les communautés aussi ont failli dans leur devoir. Car labas, la majorité n’est pas certes terroriste, mais il faut accepter reconnaître qu’il y a bien des terroristes qui sont connus de beaucoup de personnes mais gardent le silence d’ou une complicité passive. Je n’y suis pas mais je suis sur qu’il y a des terroristes qui après leurs attaques rentrent dormir avec femmes et enfants, a quelques kilomètre d’où ils ont commis leur forfait. C’est en cela que l’Etat est interpellé mais les communautés doivent apporter leur pierre au retour la paix.