Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
8-Mars : A la rencontre des ramasseuses de sable de Yagma
8 mars 2019, 08:09, par
Mohamed
Avant toute chose, je félicite sincèrement le journaliste pour ce reportage qui est en déphasage avec nos tristes habitudes. Auparavant, on a l’impression que la journée du 8 mars est une journée non pour la femme mais plutot pour celles qui se disent civilisées, pour celles qui prétendent aux sphères de décision. C’est d’ailleurs ce qui fait que nous sommes servis de ceremonies festives avec en filigrane une intention mercantile qui consiste à ecouler des tonnes de pagnes au profit de groupes de personnes déjà à l’abri du besoin minimum vital.
Génération nouvelle et nouvelle génération de journalistes, nous voulons par exemple, decouvrir pour ne pas dire exposer, ces femmes qui croupissent dans la misère au quotidien. Il sagit notamment des pousseuses et vendeuses de barriques d’eau, des vendeuses de galettes, beignets,... au bord des rues poussiéreuses, de celles qui sont obligées de se faire la lessive de cour en cour juste pour avoir une ration alimentaire journalière.
Bravo encore au journaliste
Avant toute chose, je félicite sincèrement le journaliste pour ce reportage qui est en déphasage avec nos tristes habitudes. Auparavant, on a l’impression que la journée du 8 mars est une journée non pour la femme mais plutot pour celles qui se disent civilisées, pour celles qui prétendent aux sphères de décision. C’est d’ailleurs ce qui fait que nous sommes servis de ceremonies festives avec en filigrane une intention mercantile qui consiste à ecouler des tonnes de pagnes au profit de groupes de personnes déjà à l’abri du besoin minimum vital.
Génération nouvelle et nouvelle génération de journalistes, nous voulons par exemple, decouvrir pour ne pas dire exposer, ces femmes qui croupissent dans la misère au quotidien. Il sagit notamment des pousseuses et vendeuses de barriques d’eau, des vendeuses de galettes, beignets,... au bord des rues poussiéreuses, de celles qui sont obligées de se faire la lessive de cour en cour juste pour avoir une ration alimentaire journalière.
Bravo encore au journaliste