Langues maternelles : « On ne peut rien construire de durable en empruntant l’outil langagier à une autre culture », Pr Albert Ouédraogo
5 mars 2019, 12:56, par
Liokida
Toute l’allégorie du chimiste où biologiste visait à faire prendre la mesure de la nécessite de convenir d’une langue nationale si l’on veut faire comme nous indique les modèles du Viet Naam, la Chine, l’Inde, la Turquie .... Convenir est à prendre comme concept clé, car il ne s’agit pas de considérer une langue quelconque comme supérieure, mais simplement d’admettre que cela est nécessaire. Toutes les langues se valant, il fut choisir arbitrairement, c’est-à-dire par pure convention, et peut-être aussi par le FOUET. Mais qui soutiendrait une langue imposée par le fouet ? N’est-ce pas une deuxième folie que l’on m’en voudra à mort ? Entre la convention difficile et l’humiliation par le fouetinacceptable, l’emprunt n’est-il pas la stratégie provisoire ?
Toute l’allégorie du chimiste où biologiste visait à faire prendre la mesure de la nécessite de convenir d’une langue nationale si l’on veut faire comme nous indique les modèles du Viet Naam, la Chine, l’Inde, la Turquie .... Convenir est à prendre comme concept clé, car il ne s’agit pas de considérer une langue quelconque comme supérieure, mais simplement d’admettre que cela est nécessaire. Toutes les langues se valant, il fut choisir arbitrairement, c’est-à-dire par pure convention, et peut-être aussi par le FOUET. Mais qui soutiendrait une langue imposée par le fouet ? N’est-ce pas une deuxième folie que l’on m’en voudra à mort ? Entre la convention difficile et l’humiliation par le fouet inacceptable, l’emprunt n’est-il pas la stratégie provisoire ?