50 ans du FESPACO : « Il y a une crise de la pensée du développement de l’Afrique », déclare Aminata Dramane Traoré
1er mars 2019, 10:17, par
bédjou
L’analyse de Mme TRAORE reflète exactement la réalité. Le cinéma africain a encore du chemin. Tant que ceux qui ont les idées doivent recourir à certains types de partenaires pour financer leurs productions, les choses seront toujours orientées. Vraiment dommage.
L’analyse de Mme TRAORE reflète exactement la réalité. Le cinéma africain a encore du chemin. Tant que ceux qui ont les idées doivent recourir à certains types de partenaires pour financer leurs productions, les choses seront toujours orientées. Vraiment dommage.