Procès du putsch : “Ce n’est quand même pas le saint esprit qui a fait le coup”, Gal Honoré Nabéré Traoré
21 février 2019, 12:44, par
Nabiiga
L’erreur est humaine. Personne ne s’est jamais attendu que la gestion de la transition soit parfaite, car toute œuvre humaine n’est à l’abri d’erreur, de manquements etc. Ces manquements, ne méritait pas un coup d’état par Golf. Ces manquements Koro, servaient d’excuse pour rétablir le pouvoir CDP et faire rentrer Blaise au pays afin qu’il puisse jouir de sa retraite dorée dans son château. Rien que cela. Le coup d’état n’était pas pour le bien du peuple burkinabè mais bien pour le confort d’un clan, sanguinaire et génocidaire qu’elle soit. Non, non et non, le coup d’état n’était pas nécessaire. Qu’il assume, Golf, d’autant plus qu’on lui avait bien prié d’assumer au feu de l’action. Voilà
L’erreur est humaine. Personne ne s’est jamais attendu que la gestion de la transition soit parfaite, car toute œuvre humaine n’est à l’abri d’erreur, de manquements etc. Ces manquements, ne méritait pas un coup d’état par Golf. Ces manquements Koro, servaient d’excuse pour rétablir le pouvoir CDP et faire rentrer Blaise au pays afin qu’il puisse jouir de sa retraite dorée dans son château. Rien que cela. Le coup d’état n’était pas pour le bien du peuple burkinabè mais bien pour le confort d’un clan, sanguinaire et génocidaire qu’elle soit. Non, non et non, le coup d’état n’était pas nécessaire. Qu’il assume, Golf, d’autant plus qu’on lui avait bien prié d’assumer au feu de l’action. Voilà