Procès du putsch : « Aucun texte ne nous permettait d’arrêter le Général Diendéré », déclare le Général de division Honoré Nabéré Traoré
20 février 2019, 17:09, par
Juste
Il faut que les forumistes réfléchissent à ceci « Ça aurait pu changer s’il avait usé de la brutalité. On était au ministère de la Défense. On était lourdement encerclés » ; si les chefs militaires manoeuvraient mal, peut être qu’on ne serait pas là aujourd’hui à parler de procès. C’est tout de même Gilbert Diendéré spécialiste des coups d’état et de la félonie qui était aux commandes. La chose militaire ne se règle pas comme chez les coeurs vaillants où "rien n’est impossible" ; de même que nous avons des familles qui comptent sur nous, eux aussi ont de la famille et "chacun pense à sa femme et à ses enfants" comme l’a dit Norbert ZONGO un jour. Ils sont militaires, c’est vrai mais ils sont avant tout hommes.
Il faut que les forumistes réfléchissent à ceci « Ça aurait pu changer s’il avait usé de la brutalité. On était au ministère de la Défense. On était lourdement encerclés » ; si les chefs militaires manoeuvraient mal, peut être qu’on ne serait pas là aujourd’hui à parler de procès. C’est tout de même Gilbert Diendéré spécialiste des coups d’état et de la félonie qui était aux commandes. La chose militaire ne se règle pas comme chez les coeurs vaillants où "rien n’est impossible" ; de même que nous avons des familles qui comptent sur nous, eux aussi ont de la famille et "chacun pense à sa femme et à ses enfants" comme l’a dit Norbert ZONGO un jour. Ils sont militaires, c’est vrai mais ils sont avant tout hommes.