Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Jamais dans l’histoire de notre pays, un régime n’a versé la figure du Burkina par terre comme le fait le régime actuel » (Zéphirin Diabré, président de l’UPC)
13 février 2019, 09:04, par
Guest
Le soutien au pouvoir du MPP ne doit obnubiler la vision qu’on puisse avoir de la situation nationale. Il ne faut pas également que toutes critiques, parce que venant de l’UPC soit systématiquement combattues. La pauvreté dans ce Burkina Faso nous interdit de faire de la "mauvaise politique."
LES PROPOS DU PRÉSIDENT DE L’UPC SONT JUSTES ET VRAIS.
Sur le plan financier, quant on adopte un budget initial, puis ensuite on fait trois réaménagement en cours d’année, pour aboutir finalement à un budget rectifié en baisse par rapport à l’initial, avec un réduction des investissements de plus de 250 milliards, on ne peut ignorer la mauvaise santé financière.
Sur le plan économique, quand la balance commerciale annuelle est déficitaire, on ne peut ignorer la mauvaise santé économique.
Sur le plan social, quant on monte des Burkinabè contre d’autres Burkinabè, à des fins politiciennes (la population contre les fonctionnaires, les fonctionnaires contre d’autres fonctionnaires...), on ne peut ignorer le mauvais climat social instauré.
Soyons sérieux ! Faisons de la politique potable !
Le soutien au pouvoir du MPP ne doit obnubiler la vision qu’on puisse avoir de la situation nationale. Il ne faut pas également que toutes critiques, parce que venant de l’UPC soit systématiquement combattues. La pauvreté dans ce Burkina Faso nous interdit de faire de la "mauvaise politique."
LES PROPOS DU PRÉSIDENT DE L’UPC SONT JUSTES ET VRAIS.
Sur le plan financier, quant on adopte un budget initial, puis ensuite on fait trois réaménagement en cours d’année, pour aboutir finalement à un budget rectifié en baisse par rapport à l’initial, avec un réduction des investissements de plus de 250 milliards, on ne peut ignorer la mauvaise santé financière.
Sur le plan économique, quand la balance commerciale annuelle est déficitaire, on ne peut ignorer la mauvaise santé économique.
Sur le plan social, quant on monte des Burkinabè contre d’autres Burkinabè, à des fins politiciennes (la population contre les fonctionnaires, les fonctionnaires contre d’autres fonctionnaires...), on ne peut ignorer le mauvais climat social instauré.
Soyons sérieux ! Faisons de la politique potable !