« Tahirou Barry fait partie des personnalités burkinabè qui ont le sens de l’honneur, de la dignité et du respect de la chose publique », dixit Carlos Toé, président du MCR
28 janvier 2019, 09:08, par
Ibn Youssif ONAK
Le plus grand mal de la politique africaine et de ses soit disant politiciens, c’est leur égoïsme illimité aggravé par leur manque d’union.Chacun préfère être la tête d’un moustique que d’être la queue d’un éléphant. C’est écœurant de voir la naissance des particules politiques sans aucun sens de responsabilité mis à part celui de se remplir les poches pour leurs ventres.
Aucun véreux politicien ne saurait nous représenter tant qu’il fait de la démagogie et de l’hypocrisie ces traits de personnalité primaire.« Notre avenir est pris en otage par des politiciens qui ont tout expérimenté durant des décennies, sans avoir la moindre expérience de gouvernance". Il l’a dit hier, et il le confirme aujourd’hui".
C’a commencé déjà les flux de parole révolutionnaire que vos actes reactionnaire attestent votre manque de foi et de convictions pour l’idéal de l’homme du peuple que vous avez cité.La moindre chose, vous citez le peuple et pourtant vous ne pensez qu’à vos ventres.
Le plus grand mal de la politique africaine et de ses soit disant politiciens, c’est leur égoïsme illimité aggravé par leur manque d’union.Chacun préfère être la tête d’un moustique que d’être la queue d’un éléphant. C’est écœurant de voir la naissance des particules politiques sans aucun sens de responsabilité mis à part celui de se remplir les poches pour leurs ventres.
Aucun véreux politicien ne saurait nous représenter tant qu’il fait de la démagogie et de l’hypocrisie ces traits de personnalité primaire.« Notre avenir est pris en otage par des politiciens qui ont tout expérimenté durant des décennies, sans avoir la moindre expérience de gouvernance". Il l’a dit hier, et il le confirme aujourd’hui".
C’a commencé déjà les flux de parole révolutionnaire que vos actes reactionnaire attestent votre manque de foi et de convictions pour l’idéal de l’homme du peuple que vous avez cité.La moindre chose, vous citez le peuple et pourtant vous ne pensez qu’à vos ventres.