Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Procès du putsch du CND : « Pour votre défense, respectez la mémoire des victimes », lance Me Hervé Kam à Diendéré
17 décembre 2018, 23:16, par
Astrid
Bravo, Elkabor
Vous avez tout resume. On a des populistes tels des vampires qui continuent a utiliser les victimes pour se faire des 100 et des 1000.
Qui des ministres du mpp et autres hautes tetes du gouvernement et des institutions a perdu un parent dans cette insurrection ? D’ailleurs le President de l’Assemblee n’a-t-il pas fanfaronne que leurs enfants etudient a l’etranger ? Au frais de la princesse qu’est le contribuable burkinabe ! est-ce que ce Mr. Kam et tous ceux qui exploitent a fond les victimes peuvent-ils citer un seul nom ? L’emotion de ce proces est bien selective.
Quelqu’un se rappelle-t-il la triste fin de la splendide Constantinople ? Pendant que l’armee du Sultan Ottoman encerclait la ville et y mettait le feu, les autorites, intellectuels et hommes de pouvoir byzantins etaient tranquillement assis dans un amphitheater bien bati a discuter savamment du sexe des Anges. Et pendant que le Faso est entrain de perdre des provinces entieres, que des ecoles par douzaines se ferment, la creme de l’armee burkinabe est rassemblee dans des salles climatisees entrain d’amuser la galerie. Question toute simple : qui paie les frais des avocats de la partie civile ? Est-ce l’Etat ?
Bravo, Elkabor
Vous avez tout resume. On a des populistes tels des vampires qui continuent a utiliser les victimes pour se faire des 100 et des 1000.
Qui des ministres du mpp et autres hautes tetes du gouvernement et des institutions a perdu un parent dans cette insurrection ? D’ailleurs le President de l’Assemblee n’a-t-il pas fanfaronne que leurs enfants etudient a l’etranger ? Au frais de la princesse qu’est le contribuable burkinabe ! est-ce que ce Mr. Kam et tous ceux qui exploitent a fond les victimes peuvent-ils citer un seul nom ? L’emotion de ce proces est bien selective.
Quelqu’un se rappelle-t-il la triste fin de la splendide Constantinople ? Pendant que l’armee du Sultan Ottoman encerclait la ville et y mettait le feu, les autorites, intellectuels et hommes de pouvoir byzantins etaient tranquillement assis dans un amphitheater bien bati a discuter savamment du sexe des Anges. Et pendant que le Faso est entrain de perdre des provinces entieres, que des ecoles par douzaines se ferment, la creme de l’armee burkinabe est rassemblee dans des salles climatisees entrain d’amuser la galerie. Question toute simple : qui paie les frais des avocats de la partie civile ? Est-ce l’Etat ?