Putsch du CND : "Il faut que ça marche sinon ce sera la honte de l’armée", clamait le colonel-major Raboyinga André Kaboré, CEMAT

Et pourtant je pense que le général Zagré avait bien géré la situation.Devant un ennemi,il faut toujours apprendre à le jauger et souvent même à le flatter pour lui faire perdre ses moyens au lieu de se jeter à corps perdu dans sa gueule.En effet si Zagré avait fait comme bon nombre de Burkinabè auraient souhaité à savoir aller franco à la confrontation,il y aurait eu des grabuges avec à la clé des milliers de morts.Mais là,il y a eu 0 mort dans ce bras de fer entre l’armée régulière et les voyous du rsp,ce qui n’avait d’ailleurs pas empêché à notre général en plastique diendéré de fuir comme un rat pour se réfugier à l’ambassade du Vatican.Non franchement,je ne sais pas si le général Zagré est un fin stratège mais dans ce cas précis,il a fait ce qu’il fallait faire :
 Caresser d’abord l’ennemi dans le sens du poil pour mieux le jauger
 Passer ensuite à l’attaque au moment où il fallait
Bravo l’artiste Zagré qui a joué ses partitions à la perfection