Procès du putsch du CND : « Je n’ai ni commandité, ni planifié, ni organisé, ni exécuté… », se décharge le général Gilbert Diendéré
27 novembre 2018, 09:52, par
SORE Jacob
Tous ces épisodes de la vie politique au Burkina Faso étouffent. Toujours la même chanson depuis le 3 Janvier 1966 et ça continue, que ce soit par la la voie des urnes ou par un coup de force ou fortuitement.
La politique du QUITTE POUR QUE JE M’INSTALLE est bien assise.
On accuse, on insulte, on dénigre, on blasphème, on se glorifie on s’installe, on vole on spolie et c’est le citoyen qui trinque. Suivez mon regard.
Et ce procès est une scène de théâtre avec des acteurs aberrants, agiles, à la limite abjects. Mais suivons plutôt et tirons nos propres conclusions de toute cette mascarade.
Tous ces épisodes de la vie politique au Burkina Faso étouffent. Toujours la même chanson depuis le 3 Janvier 1966 et ça continue, que ce soit par la la voie des urnes ou par un coup de force ou fortuitement.
La politique du QUITTE POUR QUE JE M’INSTALLE est bien assise.
On accuse, on insulte, on dénigre, on blasphème, on se glorifie on s’installe, on vole on spolie et c’est le citoyen qui trinque. Suivez mon regard.
Et ce procès est une scène de théâtre avec des acteurs aberrants, agiles, à la limite abjects. Mais suivons plutôt et tirons nos propres conclusions de toute cette mascarade.