Congrès du Rassemblement pour la démocratie et le socialisme (RDS) : Un nouveau bureau mis en place, l’ex-président François Ouédraogo exclu

Hum ! Ces gros bonnets de mon pays avec leurs intérêts pour la chose politique !! Pourrons-nous nous développer dans cette
amalgamme des fonctions sociales ? La chefferie traditionnelle a-t-elle un bel avenir devant elle en continuant de s’immixant au jeu politique de nos états africains ? Ne faut-il pas légiférer pour assainir ce monde de la chefferie traditionnel en encadrant plus cette matière ? Le chef traditionnel est plus reconnu pour son impartialité dans nos sociétés africaines. Cette impartialité est clairement en doute de nos jours avec l’immixion des bonnets rouges dans la scène politique. Il semble que le Dima lui, n’a pas eu autre profession meilleure que la politique. Il serait à l’hémicycle depuis le temps de Lamizana ; certains mêmes parlent de Maurice. Je me demande comment a-t-il pu s’échapper quand le peuple — donc ses sujets— a attaqué l’Assemblée le 30 octobre 2014 ? A-t-il détallé comme les autres députés, bonnet en tête, canne à la main, hissé sur un mûr ? De comportements à salir la réputation du chef traditionnel devant qui les sujets s’accroupissent pour saluer à son passage soit une fois en visite chez lui à domicile. Pure, le Dima a même été membre du CNT en 2015. En définitive, Il aura été de toutes les législatures. Est-il finalement un bon chef traditionnel du moment où sa fonction de politicien le rend d’office IMPARTIAL ? Espérons que les politiques (gouvernements, parlément) continueront la réflexion pour assainir ce milieu tant cher à nos traditions.