Francophones d’Afrique : « Speak english as well… and honi soit qui mal y pense ! »
8 novembre 2018, 01:23, par
jeunedame seret
C’est toi Buri qui est borné. Fallait écrire ta réaction dans la langue de tes parents. L’usage des langues officielles n’est pas un interdit à celui des langues locales. Ce qui est sûr, tu ne peux plus nettoyer le colonialisme et retrouver tes vraies racines. Les dés sont pipés. Il faut t’y faire. Au Canada, il y a l’usage des langues officielles mais les langues locales des autochtones sont aussi parlées et enseignées à leur gré. L’auteur dit une vérité. Le français recule. Et notre continent est vulnérable. Et le mieux c’est de préparer notre adaptation en réservant l’anglais. C’est une méthode de lutte durable. If you cannot adapt to an environment, you adapt this environment. Vive le bilinguisme, bienvenue l’anglais. Que le Ghana nous sauve à temps.
C’est toi Buri qui est borné. Fallait écrire ta réaction dans la langue de tes parents. L’usage des langues officielles n’est pas un interdit à celui des langues locales. Ce qui est sûr, tu ne peux plus nettoyer le colonialisme et retrouver tes vraies racines. Les dés sont pipés. Il faut t’y faire. Au Canada, il y a l’usage des langues officielles mais les langues locales des autochtones sont aussi parlées et enseignées à leur gré. L’auteur dit une vérité. Le français recule. Et notre continent est vulnérable. Et le mieux c’est de préparer notre adaptation en réservant l’anglais. C’est une méthode de lutte durable. If you cannot adapt to an environment, you adapt this environment. Vive le bilinguisme, bienvenue l’anglais. Que le Ghana nous sauve à temps.