Livre-témoignage de Yacouba Isaac ZIDA : « Une boîte d’allumettes mouillées » selon Lengha Fils
24 octobre 2018, 17:04, par
Yohito
Cher Lengha Fils, tu reviens encore avec tes inepties ? Personnellement je ne te lisais plus depuis que tu as appelé la population à rester chez elle lors du coup d’Etat de Diendieré. Quand je t’ai signifié mon désaccord tu m’as tout simplement bloqué de Facebook. Soit ! Faut-il te rappeler que c’est toi qui as appelé les militaires au soir du 30 octobre de prendre leur responsabilité ? As-tu oublié ton soutien au coup d’Etat parce qu’un poste t’aurait été promis au sein du gouvernement ? As-tu oublié l’histoire des faux permis de conduire qui t’ont fait fuir le pays ? Quand ce que l’on va dire n’est pas sensé, le bon sens voudrait qu’on la ferme. Analyste politique ? Mon cul ! Tu as simplement développe une jalousie maladive envers les leaders du Balai Citoyen et envers le Général Zida. Tu as tout le temps crié ici qu’ils ont détourné tant, mais jusque là aucun debut de preuve. Il serait plus sage que tu te la coule douce à Lagos, que tu manges et que tu la fermes !
Cher Lengha Fils, tu reviens encore avec tes inepties ? Personnellement je ne te lisais plus depuis que tu as appelé la population à rester chez elle lors du coup d’Etat de Diendieré. Quand je t’ai signifié mon désaccord tu m’as tout simplement bloqué de Facebook. Soit ! Faut-il te rappeler que c’est toi qui as appelé les militaires au soir du 30 octobre de prendre leur responsabilité ? As-tu oublié ton soutien au coup d’Etat parce qu’un poste t’aurait été promis au sein du gouvernement ? As-tu oublié l’histoire des faux permis de conduire qui t’ont fait fuir le pays ? Quand ce que l’on va dire n’est pas sensé, le bon sens voudrait qu’on la ferme. Analyste politique ? Mon cul ! Tu as simplement développe une jalousie maladive envers les leaders du Balai Citoyen et envers le Général Zida. Tu as tout le temps crié ici qu’ils ont détourné tant, mais jusque là aucun debut de preuve. Il serait plus sage que tu te la coule douce à Lagos, que tu manges et que tu la fermes !