Burkina : Des experts s’imprègnent de l’intelligence économique des marchés africains
10 octobre 2018, 07:42, par
Hussein
Le problème majeur pour moi est que les africains se contentent seulement de tout acheter des autres (et comme nous ne sommes pas le premier choix dans ce monde, nous ne pouvons que nous contenter des restes et de la mauvaise qualité, sans compter le fait grave de nous adonner à la dépendence totale des autres) au lieu d’être soi-mêmes créatifs et d’avoir une vision de construire dans l’union, une économie africaine propre, stable, absolument indépendente et de fabriquer des produits dont nous avons besoin nous-mêmes, des produits mieux adapter aux besoins du continent et de ses habitants. Bien organisée, l’Afrique constituerait des marchés régionaux gigantesques (je compte cinq au minimum) qui feraient profiter tous les acteurs du monde . Sinon TIC par ci par là, c’est zéro (c’est comme mettre la charrue avant les boeufs) : il faut plutôt former réellement beaucoup d’ingénieurs dans les domaines classiques pour qu’ils puissent travailler intensément sur place ; il y’en aura certainement qui seront très créatifs et très productifs pour le bonheur d’une économie prospère qui pourra aussi exporter ses produits et prestations dans le monde entier !
Le problème majeur pour moi est que les africains se contentent seulement de tout acheter des autres (et comme nous ne sommes pas le premier choix dans ce monde, nous ne pouvons que nous contenter des restes et de la mauvaise qualité, sans compter le fait grave de nous adonner à la dépendence totale des autres) au lieu d’être soi-mêmes créatifs et d’avoir une vision de construire dans l’union, une économie africaine propre, stable, absolument indépendente et de fabriquer des produits dont nous avons besoin nous-mêmes, des produits mieux adapter aux besoins du continent et de ses habitants. Bien organisée, l’Afrique constituerait des marchés régionaux gigantesques (je compte cinq au minimum) qui feraient profiter tous les acteurs du monde . Sinon TIC par ci par là, c’est zéro (c’est comme mettre la charrue avant les boeufs) : il faut plutôt former réellement beaucoup d’ingénieurs dans les domaines classiques pour qu’ils puissent travailler intensément sur place ; il y’en aura certainement qui seront très créatifs et très productifs pour le bonheur d’une économie prospère qui pourra aussi exporter ses produits et prestations dans le monde entier !