France : Macron vient de déclassifier une partie du dossier Sankara
28 septembre 2018, 10:16, par
Kladjou
Maria de Ziniaré, S’il y a quelqu’un qui a bien vendu ce pays à l’étranger pour ses intérêts personnels et qui a été instrumentalisé pour tuer son frère d’arme (Sankara) et ses compagnons c’est bien votre mentor et vous ses soutiens sont mal placés pour nous donner des leçons de patriotisme ici.
Vous voulez savoir pourquoi il est important de déclassifier les dossiers en France ? Et bien c’est pour permettre à la justice du Burkina de savoir s’il y a eu des complices en un mot connaitre la tête qui a pensé et instrumentaliser votre champion, Blaise Compaoré le donneur d’ordre. En effet les commando lui avaient posé la question suivante lorsqu’il "dormais le 15 octobre" : "Et s’il résiste, ? R : Blaise Compaoré ; neutraliser le !"
Les Burkinabè et la justice connaissent depuis 1987 ceux qui ont tiré sur Sankara et ses compagnons et celui qui a donné l’ordre. d’ailleurs le chef du commando paradait dans les rues de Ouaga et dans les bars à l’époque avec le PA de Sankara comme trophée de Guerre. Pas étonnant qu’il ait fuit lui-aussi le jour de la fin du règne de votre prince. Restez tranquille, la justice est en marche ! Vous n’avez sans doute pas compté avec de "telles méandres de l’histoire" (pour paraphraser votre déclaration de coup d’état au soir du 15 octobre) qui feront changer les choses et rattrapé. Tout se paie hélas tôt ou tard sur terre ici.
Maria de Ziniaré, S’il y a quelqu’un qui a bien vendu ce pays à l’étranger pour ses intérêts personnels et qui a été instrumentalisé pour tuer son frère d’arme (Sankara) et ses compagnons c’est bien votre mentor et vous ses soutiens sont mal placés pour nous donner des leçons de patriotisme ici.
Vous voulez savoir pourquoi il est important de déclassifier les dossiers en France ? Et bien c’est pour permettre à la justice du Burkina de savoir s’il y a eu des complices en un mot connaitre la tête qui a pensé et instrumentaliser votre champion, Blaise Compaoré le donneur d’ordre. En effet les commando lui avaient posé la question suivante lorsqu’il "dormais le 15 octobre" : "Et s’il résiste, ? R : Blaise Compaoré ; neutraliser le !"
Les Burkinabè et la justice connaissent depuis 1987 ceux qui ont tiré sur Sankara et ses compagnons et celui qui a donné l’ordre. d’ailleurs le chef du commando paradait dans les rues de Ouaga et dans les bars à l’époque avec le PA de Sankara comme trophée de Guerre. Pas étonnant qu’il ait fuit lui-aussi le jour de la fin du règne de votre prince. Restez tranquille, la justice est en marche ! Vous n’avez sans doute pas compté avec de "telles méandres de l’histoire" (pour paraphraser votre déclaration de coup d’état au soir du 15 octobre) qui feront changer les choses et rattrapé. Tout se paie hélas tôt ou tard sur terre ici.