Mévente de l’huile alimentaire made in Burkina : Les importateurs et distributeurs à la rescousse des industries

L’huile de la CITEC par exemple est jugée bonne pour les fritures (mieux que l’huile de palme) et les assaisonnements. Le problème est qu’on ne le trouve plus en bidon d’1 litre comme dans le passé. La CITEC gagnerait à revoir le conditionnement de son huile afin qu’elle facilement accessible aux clients. Proposer des bidons de 2 litres, 1 litre, 1/2 litre, 1/4 litre,... Bien entendu, cela s’accompagne avec des équipements supplémentaires.
Les importateurs d’huile dans un souci du développement de l’industrie nationale doivent faire la promotion des huiles produites localement. Les huiles de mauvaise qualité doivent disparaître car elles font de la contre-publicité des huiles produites sur le territoire national.