Incendie au centre médical avec antenne chirurgicale de Kongoussi : Des dégâts matériels enregistrés
22 août 2018, 19:50, par
Nabiiga
Je ne connais pas très bien cette partie de notre pays, hormis passer par là en route quelque part, j’avoue que ma connaissance de cette partie de notre pays est très limitée. Si un centre aussi important doit être construit dans une localité tout en sachant qu’il peut y avoir des situations d’urgence telle qu’un incendie, je me demande pourquoi, dans la conception de ce centre, personne n’a pensé à ajouter une caserne de sapeurs-pompiers, ne serait-ce qu’un seul engin, pour assurer de tout incendie qui se produirait comme dans cette situation ? On se plaint de tout dans notre pays, surtout du sous-développement et autres, mais nous sommes, nous, architectes de nos malheurs. Le coût des médicaments et équipements partis en fumée peut avoisiner le coût le prix d’un engin anti feu et ce n’est pas un fils de cette localité qui est sapeur-pompier à Ouaga ou ailleurs, qui refuserait une affectation dans son village pour s’occuper de cet engin. C’est nous le problème. C’est nous qui créons nos propres misères et ce n’est pas pour aujourd’hui que ce fléau verra sa fin. Triste !!!!
Je ne connais pas très bien cette partie de notre pays, hormis passer par là en route quelque part, j’avoue que ma connaissance de cette partie de notre pays est très limitée. Si un centre aussi important doit être construit dans une localité tout en sachant qu’il peut y avoir des situations d’urgence telle qu’un incendie, je me demande pourquoi, dans la conception de ce centre, personne n’a pensé à ajouter une caserne de sapeurs-pompiers, ne serait-ce qu’un seul engin, pour assurer de tout incendie qui se produirait comme dans cette situation ? On se plaint de tout dans notre pays, surtout du sous-développement et autres, mais nous sommes, nous, architectes de nos malheurs. Le coût des médicaments et équipements partis en fumée peut avoisiner le coût le prix d’un engin anti feu et ce n’est pas un fils de cette localité qui est sapeur-pompier à Ouaga ou ailleurs, qui refuserait une affectation dans son village pour s’occuper de cet engin. C’est nous le problème. C’est nous qui créons nos propres misères et ce n’est pas pour aujourd’hui que ce fléau verra sa fin. Triste !!!!