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An1 de la disparition de Salif Diallo : « Il n’était ni un saint, ni un diable » Jacob Ouédraogo, ambassadeur du Burkina Faso au Sénégal

20 août 2018, 15:49, par Fils du Pays

Cher Internaute "A qui la faute". Très bien dit ! La politique est le gagne pain d´un petit nombre de personnes qui ont bénéficié de la scolarisation. La plupart de ces personnes ont fréquenté des écoles construites et entretenues par des religieux, dans la majeur partie des cas ce sont les catholiques ou les protestants (écoles primaires, lycees et collèges, La Salle, Moukassa, Collège Protestant de Ouagadougou et de Loumbila pour les filles, la Sainte Monique, les grands et petits seminaires). Entré en politique ces gens ont rapidement oublié qu´il y a d´autres enfants de paysans qui aimeraient aussi aller à l´école. Ils ont perverti l´économie et l´entreprenariat dans le pays en occupant tout, l´Etat et tous les secteurs porteurs de l´économie. Gare à quelqu´un s´il s´avanturait dans les domaines dans lesquels ils étaient. Pour avancer, un pays a besoin de gens qui se donnent, en inventant et en méttant à la disposition de l´économie leur savoir faire et leur force intellectuelle. Mais nos gens passent le temps à manipuler les moins instruits afin de pouvoir se maintenir au Pouvoir. Aucune pitié pour les pauvres. Que le burkinabe est méchant....


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