Mortalité de lapins au Burkina : « L’Etat nous a abandonnés à notre triste sort » Moumouni Simporé, président de l’association des éleveurs de lapins
4 août 2018, 09:52, par
Sanou Solo
Ce qui nous arrive ne devrait pas nous étonner, puisse que malgré souvent les grandes compétences que regorgent certains privés le MRAH ne les empêche d’intervenir sous prétexte qu’il n’ont pas d’autorisation ; ceux qui ont l’autorisation (agents de l’état, ou quelques docteurs vétérinaires) préfèrent leur bureau ou les séminaires, que d’être sur le terrain auprès des éleveurs ; conséquences les éleveurs sont abandonnés à eux mêmes, donc pratiquent l’automédication ou se font raqueter par de faux techniciens.
Ce qui nous arrive ne devrait pas nous étonner, puisse que malgré souvent les grandes compétences que regorgent certains privés le MRAH ne les empêche d’intervenir sous prétexte qu’il n’ont pas d’autorisation ; ceux qui ont l’autorisation (agents de l’état, ou quelques docteurs vétérinaires) préfèrent leur bureau ou les séminaires, que d’être sur le terrain auprès des éleveurs ; conséquences les éleveurs sont abandonnés à eux mêmes, donc pratiquent l’automédication ou se font raqueter par de faux techniciens.