1re édition de la conférence sur les mines : les perspectives de l’exploitation minière au cœur de la réflexion
13 juillet 2018, 08:50, par
Stalinsky
Il ne faut pas nous prendre pour des idiots en nous montrant ces maigres 226 milliards de FCFA que l’Etat aurait engragé en 2017. L’histoire des fonds communs montre que nous pouvons économiser plus de 200 milliards de FCFA. Donc ce en quoi l’on assiste aujourd’hui c’est un bradage de nos ressources minières. On cache la part de d’Etat qui tourne autour de 10%. Même sous le Président Sangoulé Lamizana ,que l’on ne qualifierait pas de révolutionnaire, on gardait le principe de 51% à l’Etat et 49% pour le privé. C’est celà qui aurait permis à l’Etat d’avoir les capacités de rédiure le chômage et de developper les autres branches de l’economie. Il faudrait que Idani Oumarou soit courageux, lui qui fustigeait l’impérialisme quand il était Directeur de la SONABEL. Il faut amener la part de l’Etat à 51%. Les sociétés multinationales se font de super profits au détriment du Burkina.
Il ne faut pas nous prendre pour des idiots en nous montrant ces maigres 226 milliards de FCFA que l’Etat aurait engragé en 2017. L’histoire des fonds communs montre que nous pouvons économiser plus de 200 milliards de FCFA. Donc ce en quoi l’on assiste aujourd’hui c’est un bradage de nos ressources minières. On cache la part de d’Etat qui tourne autour de 10%. Même sous le Président Sangoulé Lamizana ,que l’on ne qualifierait pas de révolutionnaire, on gardait le principe de 51% à l’Etat et 49% pour le privé. C’est celà qui aurait permis à l’Etat d’avoir les capacités de rédiure le chômage et de developper les autres branches de l’economie. Il faudrait que Idani Oumarou soit courageux, lui qui fustigeait l’impérialisme quand il était Directeur de la SONABEL. Il faut amener la part de l’Etat à 51%. Les sociétés multinationales se font de super profits au détriment du Burkina.