Forum sur la rémunération des agents publics : « Cette conférence n’a aucun sens dans le format actuel », selon le CFOP
13 juin 2018, 05:13, par
PAK
Messieurs du CFOP, cette sortie fait pitié. Quand on a rien à dire, on peut faire économie de convier nos braves journalistes qui recherchent de vraies informations. C’est quelle situation de crises où les forces vives n’ont pas été mises à contribution pour la recherche de solutions dans ce pays. Arrêtons cet orgueil inutile ! L’expérience a montré que les vrais recours dans ce pays en cas de crise n’ont jamais été les institutions publiques, mais d’autres canaux. Et vous êtes tous directement et indirectement comptables. Ici, il est question des systèmes de rémunération à partir de notre panier commun qu’est le budget de l’Etat où dans le partage, ceux qui ont à peine deux repas par jour sont régulièrement oubliés alors qu’ils valent 40% de la population. Dans un tel débat, la présence des forces vives n’est pas sans intérêts. Le gouvernement est celui qui à force d’accorder les avantages aux travailleurs crie qu’il n’en peut plus, les syndicats ne défendent pour l’essentiel, que les intérêts dits moraux et matériels de leurs militants, la "grande masse des déshérités" ne doit pas être oubliée. Et puis, dans les disparités et inégalités actuelles où les syndicats arrivent en rang dispersé, la présence des forces vives (si l’appellation sied) est la bienvenue.
Messieurs du CFOP, cette sortie fait pitié. Quand on a rien à dire, on peut faire économie de convier nos braves journalistes qui recherchent de vraies informations. C’est quelle situation de crises où les forces vives n’ont pas été mises à contribution pour la recherche de solutions dans ce pays. Arrêtons cet orgueil inutile ! L’expérience a montré que les vrais recours dans ce pays en cas de crise n’ont jamais été les institutions publiques, mais d’autres canaux. Et vous êtes tous directement et indirectement comptables. Ici, il est question des systèmes de rémunération à partir de notre panier commun qu’est le budget de l’Etat où dans le partage, ceux qui ont à peine deux repas par jour sont régulièrement oubliés alors qu’ils valent 40% de la population. Dans un tel débat, la présence des forces vives n’est pas sans intérêts. Le gouvernement est celui qui à force d’accorder les avantages aux travailleurs crie qu’il n’en peut plus, les syndicats ne défendent pour l’essentiel, que les intérêts dits moraux et matériels de leurs militants, la "grande masse des déshérités" ne doit pas être oubliée. Et puis, dans les disparités et inégalités actuelles où les syndicats arrivent en rang dispersé, la présence des forces vives (si l’appellation sied) est la bienvenue.