Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Fonds communs et assurance maladie : Comment réparer l’injustice sociale
1er juin 2018, 13:28, par
Mire
Très belle réflexion ! Imaginez ce que les fonds communs peuvent réaliser comme barrages par an. Avec seulement les 55 milliards cités, on pourrait avoir dix barrages de 5 milliards chaque. Si chaque barrage de cette envergure fixe deux cent ménages pour la maraicheculture et permet d’abreuver combien de têtes d’animaux, je ne sais, imaginons les richesses qui seront créées au bout de dix ans de réorientation de ces fonds dit communs mais qui ne le sont que pou un même groupe de personnes alors que le paysan de mon village doit participer à cette communauté.
Je ne sais pas combien de temps ce privilège dure ou à duré pour un même clan, mais il est temps que les mêmes fonds soient réorientés vers les populations rurales qui en sont exclues pour au tant de temps et quand la balance sera équilibrée on reparle d’une répartition juste. Nous sommes tous Burkinabé et aspirons à l’amélioration de nos conditions de vie. Le bonheur est est un droit pour tous y compris celui qui gratte la terre pour se nourrir lui et sa famille. Que ceux qui ont toujours bénéficié des privilèges de l’État : Éducation et Instruction, emploi et revenu assuré laissent quelques subsides à leurs frères qui ne sont pas moins Burkinabé ni moins méritants qu’eux !
Très belle réflexion ! Imaginez ce que les fonds communs peuvent réaliser comme barrages par an. Avec seulement les 55 milliards cités, on pourrait avoir dix barrages de 5 milliards chaque. Si chaque barrage de cette envergure fixe deux cent ménages pour la maraicheculture et permet d’abreuver combien de têtes d’animaux, je ne sais, imaginons les richesses qui seront créées au bout de dix ans de réorientation de ces fonds dit communs mais qui ne le sont que pou un même groupe de personnes alors que le paysan de mon village doit participer à cette communauté.
Je ne sais pas combien de temps ce privilège dure ou à duré pour un même clan, mais il est temps que les mêmes fonds soient réorientés vers les populations rurales qui en sont exclues pour au tant de temps et quand la balance sera équilibrée on reparle d’une répartition juste. Nous sommes tous Burkinabé et aspirons à l’amélioration de nos conditions de vie. Le bonheur est est un droit pour tous y compris celui qui gratte la terre pour se nourrir lui et sa famille. Que ceux qui ont toujours bénéficié des privilèges de l’État : Éducation et Instruction, emploi et revenu assuré laissent quelques subsides à leurs frères qui ne sont pas moins Burkinabé ni moins méritants qu’eux !