Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Opération anti-terroriste à Rayongo : « Qui a diffusé les images de l’intérieur de la villa ? »
24 mai 2018, 18:04, par
pas compliqué
Il suffit de vérifier les horaires d’apparition sur les réseaux et croiser avec les données des opérateurs de téléphonie. Cela peut se faire en une demie-journée car le lieu est circonscrit et, donc, le bornage permet rapidement de voir qui a communiqué, qui était là, et quand... Au final, est-ce que cette question est primordiale ? Pour moi, la question la plus importante et de loin ; est pourquoi avoir mis presque 3 mois pour les déloger alors que l’on avait sans doute déjà leurs traces dès le début de l’enquête du 2 mars ? Avec la téléphonie mobile, on peut vite retrouver les gens. Le plus inquiétant et là ce n’est pas rassurant, combien de cellules dormantes existent dans la ville de Ouagadougou ? moins de 10, plus de 10 ? je m’inquiète car ils ont largement eu le temps de devenir incognito dans la société burkinabè depuis que l’on donnait le gite et le couvert à ces ramassis de MNLA et autres qui traficotait allègrement avec l’ancien régime (cigarette, drogue, armes, migrants, etc.) dont un certain Gilbert Diendéré aux commandes et aux ordres du petit président pour toute sorte de trafics via le forage Kristine au Nord du Faso.
Il suffit de vérifier les horaires d’apparition sur les réseaux et croiser avec les données des opérateurs de téléphonie. Cela peut se faire en une demie-journée car le lieu est circonscrit et, donc, le bornage permet rapidement de voir qui a communiqué, qui était là, et quand... Au final, est-ce que cette question est primordiale ? Pour moi, la question la plus importante et de loin ; est pourquoi avoir mis presque 3 mois pour les déloger alors que l’on avait sans doute déjà leurs traces dès le début de l’enquête du 2 mars ? Avec la téléphonie mobile, on peut vite retrouver les gens. Le plus inquiétant et là ce n’est pas rassurant, combien de cellules dormantes existent dans la ville de Ouagadougou ? moins de 10, plus de 10 ? je m’inquiète car ils ont largement eu le temps de devenir incognito dans la société burkinabè depuis que l’on donnait le gite et le couvert à ces ramassis de MNLA et autres qui traficotait allègrement avec l’ancien régime (cigarette, drogue, armes, migrants, etc.) dont un certain Gilbert Diendéré aux commandes et aux ordres du petit président pour toute sorte de trafics via le forage Kristine au Nord du Faso.