Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Meurtres et exactions dans le conflit au nord du Burkina : Human Rights Watch renvoie forces de défense et terroristes dos à dos
22 mai 2018, 07:50, par
Ka
Sidbéwendé Zoungrana : N’en veut pas à monsieur Dabilgou : Car, en tant que ministre il reste un porte-parole, et n’est pas là pour porter sa propre parole, mais celle de ses patrons : Et monsieur Dabilgou dépend du président et son premier ministre. C’est "la voix de ses maîtres". Il n’existe pas en tant que lui-même. Il n’y a rien d’étonnant à ça, c’est la même chose quand on lit un article signé "service de communication". S’il y a quelquefois des rajouts en dehors de ce qu’on lui dit de dire, c’est que monsieur Dabilgou pond des choses dont il prend ses désirs pour des réalités. Oui ! Très souvent, ces ministres peuvent aussi se permettre de distrayez le peuple avec des salades politiciennes , des informations non crédibles pour endormir le monde, mais ils sont souvent sanctionnés par l’exécutif. Tout repose sur le président et son premier ministre. C’est la raison pour laquelle Tahirou est parti de ce cercle, car tout est dicté.
Sidbéwendé Zoungrana : N’en veut pas à monsieur Dabilgou : Car, en tant que ministre il reste un porte-parole, et n’est pas là pour porter sa propre parole, mais celle de ses patrons : Et monsieur Dabilgou dépend du président et son premier ministre. C’est "la voix de ses maîtres". Il n’existe pas en tant que lui-même. Il n’y a rien d’étonnant à ça, c’est la même chose quand on lit un article signé "service de communication". S’il y a quelquefois des rajouts en dehors de ce qu’on lui dit de dire, c’est que monsieur Dabilgou pond des choses dont il prend ses désirs pour des réalités. Oui ! Très souvent, ces ministres peuvent aussi se permettre de distrayez le peuple avec des salades politiciennes , des informations non crédibles pour endormir le monde, mais ils sont souvent sanctionnés par l’exécutif. Tout repose sur le président et son premier ministre. C’est la raison pour laquelle Tahirou est parti de ce cercle, car tout est dicté.