Affaire Fonds communs : L’objectif visé est d’opposer les travailleurs entre eux, selon Sidiki Dramé du SYNATIC
16 avril 2018, 18:30, par
Honte aux agents du MINEFID
Nous n’avons pas à faire aux vampires suceurs de sang du peuple. Les KARL MARX et autres communistes et révolutionnaires parlaient de lutte des pauvres et des opprimés contre un système capitaliste suceur de sang. Ici, les financiers ne sont pas des gens qui sont dans le besoin, mais des gens qui cherchent à mettre tout leur pain dans le beurre. Ils ne sont pas pauvres, ils ne sont pas opprimés sauf par leur cupidité et leur goût prononcé du luxe et des plaisirs mondains. C’est ça la vérité. Avant, grâce à la lutte des travailleurs, le peuple opprimé gagnait aussi un peu du fait des répercussions de ces luttes, ce qui n’est pas le cas ici au Burkina. Là, nous avons des financiers cupides aimant le luxe et la jouissance et qui, honteusement, ont fait main basse sur l’argent du pauvre pour se le partager sans gène en disant honteusement : "même si tu vas mourir de faim, il faut que j’aie pour moi" et là, nous le peuple digne et réveillé disons : "No passaran !".
Nous n’avons pas à faire aux vampires suceurs de sang du peuple. Les KARL MARX et autres communistes et révolutionnaires parlaient de lutte des pauvres et des opprimés contre un système capitaliste suceur de sang. Ici, les financiers ne sont pas des gens qui sont dans le besoin, mais des gens qui cherchent à mettre tout leur pain dans le beurre. Ils ne sont pas pauvres, ils ne sont pas opprimés sauf par leur cupidité et leur goût prononcé du luxe et des plaisirs mondains. C’est ça la vérité. Avant, grâce à la lutte des travailleurs, le peuple opprimé gagnait aussi un peu du fait des répercussions de ces luttes, ce qui n’est pas le cas ici au Burkina. Là, nous avons des financiers cupides aimant le luxe et la jouissance et qui, honteusement, ont fait main basse sur l’argent du pauvre pour se le partager sans gène en disant honteusement : "même si tu vas mourir de faim, il faut que j’aie pour moi" et là, nous le peuple digne et réveillé disons : "No passaran !".