Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lutte contre la corruption au Burkina : Il y a comme un aveu d’impuissance au sommet de l’Etat, selon le REN-LAC
12 avril 2018, 08:03, par
Wadal
Vous voyez cela, c’est un aveu d’impuissance et de manque de volonté politique de la part du premier responsable du pays. Soyons sûrs, lui-même se reproche quelque chose sinon comment comprendre ces propos irresponsables du président. C’est vraiment inquiétant pour ce pays. J’ai dit aux burkinabè, quelle que soit la durée d’une souche d’arbre au fond de l’eau, elle ne deviendra pas caïman. C’est vraiment un parjure ! Alors burkinabè, les valeurs de l’insurrection ont été stoppées et nous n’avons que nos yeux pour pleurer jusqu’en 2020 à moins qu’un autre miracle se produit. Merde ! C’est le pire des présidents que le Burkina ait connu. Vous savez et comme on le dit : on ne gagne pas deux fois le bonheur. Après la Révolution de 1984 et 30 ans après l’insurrection de 2014 qui n’est pas allée à son terme, nous revoilà dans l’abîme. Et j’ai l’impression de dire que finalement, les burkinabè ne savent pas faire la différence entre l’ivraie et le bon grain.
Vous voyez cela, c’est un aveu d’impuissance et de manque de volonté politique de la part du premier responsable du pays. Soyons sûrs, lui-même se reproche quelque chose sinon comment comprendre ces propos irresponsables du président. C’est vraiment inquiétant pour ce pays. J’ai dit aux burkinabè, quelle que soit la durée d’une souche d’arbre au fond de l’eau, elle ne deviendra pas caïman. C’est vraiment un parjure ! Alors burkinabè, les valeurs de l’insurrection ont été stoppées et nous n’avons que nos yeux pour pleurer jusqu’en 2020 à moins qu’un autre miracle se produit. Merde ! C’est le pire des présidents que le Burkina ait connu. Vous savez et comme on le dit : on ne gagne pas deux fois le bonheur. Après la Révolution de 1984 et 30 ans après l’insurrection de 2014 qui n’est pas allée à son terme, nous revoilà dans l’abîme. Et j’ai l’impression de dire que finalement, les burkinabè ne savent pas faire la différence entre l’ivraie et le bon grain.