Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Différend sur le site de manganèse de Tambao : Me Paul Kéré met en garde les autorités
10 avril 2018, 06:04, par
Paul KÉRÉ
Ib, je suis parfaitement d’accord avec vous. C’est justement à défaut de financement national que l’État va ailleurs chercher des investisseurs étrangers. Toutes nos banques et opérateurs économiques réunies ne peuvent pas financer ce projet. Arrêtons cette démagogie car c’est un investissement de grande envergure impliquant le capital international incommensurable. Aucun burkinabè ne peut l’imaginer raisonnablement. Bien géré ce projet donnera un toit à tous les burkinabè sans exception en plus de l’eau et de l’electricité. Pour que je prenne la peine d’écrire au Président c’est que c’est grave....Le mot est faible...
Maintenant que le groupe TIMIS par sa filiale de droit burkinabè PAM a remporté le marché une solution de reprendre ce marché coûtera la peau des fesses à l’état burkinabè. Nous mettrons 20 à 30 ans d’années d’exploitation à rembourser cette dette. C’est pourquoi je fais confiance à notre Président pour mettre le Groupe Bolloré en face hdes de ses responsabilités pour faire le rail KAYA-ABIDJAN. La solution de la route ou du rail KAYA-TAMBAO étant imputable à l’État qui n’a pas remis à temps l’état de faisabilité et qui l’a d’aileurs surfacturé frauduleusement à trois fois son prix par rapport aux standards sous-régionnaux de la BOAD ou de la BAD. En tout état de cause en cas de reprise de l’exploitation par le groupe TIMIS, la société PAM, filiale de nationalité burkinabè est prête à refaire cette route à ses frais conformément aux termes de l’accord-cadre. L’heure est grave pour pas que notre Président se gourre dans la décision à prendre. Prions afin que Dieu l’éclaire et l’assiste dans la prise de la bonne décision et ce, dans l’intérêt Général du peuple burkinabè. Paul KÉRÉ., Avocat.
Ib, je suis parfaitement d’accord avec vous. C’est justement à défaut de financement national que l’État va ailleurs chercher des investisseurs étrangers. Toutes nos banques et opérateurs économiques réunies ne peuvent pas financer ce projet. Arrêtons cette démagogie car c’est un investissement de grande envergure impliquant le capital international incommensurable. Aucun burkinabè ne peut l’imaginer raisonnablement. Bien géré ce projet donnera un toit à tous les burkinabè sans exception en plus de l’eau et de l’electricité. Pour que je prenne la peine d’écrire au Président c’est que c’est grave....Le mot est faible...
Maintenant que le groupe TIMIS par sa filiale de droit burkinabè PAM a remporté le marché une solution de reprendre ce marché coûtera la peau des fesses à l’état burkinabè. Nous mettrons 20 à 30 ans d’années d’exploitation à rembourser cette dette. C’est pourquoi je fais confiance à notre Président pour mettre le Groupe Bolloré en face hdes de ses responsabilités pour faire le rail KAYA-ABIDJAN. La solution de la route ou du rail KAYA-TAMBAO étant imputable à l’État qui n’a pas remis à temps l’état de faisabilité et qui l’a d’aileurs surfacturé frauduleusement à trois fois son prix par rapport aux standards sous-régionnaux de la BOAD ou de la BAD. En tout état de cause en cas de reprise de l’exploitation par le groupe TIMIS, la société PAM, filiale de nationalité burkinabè est prête à refaire cette route à ses frais conformément aux termes de l’accord-cadre. L’heure est grave pour pas que notre Président se gourre dans la décision à prendre. Prions afin que Dieu l’éclaire et l’assiste dans la prise de la bonne décision et ce, dans l’intérêt Général du peuple burkinabè. Paul KÉRÉ., Avocat.