Député Tahirou Barry, ancien ministre : « Aujourd’hui, le président du Faso n’est plus en crise d’inspiration ; il est maintenant totalement en panne ! »
24 mars 2018, 19:54, par
Bêta 2
De toutes les façons, il ne pouvait pas en être autrement après l’insurrection. Il faut accepter l’actif et le passif. Les temps ont changé et celui qui n’a pas changé ne doit pas prendre les autres pour responsables de ce qui lui arrive. Si le changement étai là, il y ’aurait moins de critiques, si non pas malgré la situation qu’on connaît. Celui qui accepte qu’on l’attache doit accepter qu’on le tire. Il n’y a pas une autre alternative. C’est ma loi de la nature.
De toutes les façons, il ne pouvait pas en être autrement après l’insurrection. Il faut accepter l’actif et le passif. Les temps ont changé et celui qui n’a pas changé ne doit pas prendre les autres pour responsables de ce qui lui arrive. Si le changement étai là, il y ’aurait moins de critiques, si non pas malgré la situation qu’on connaît. Celui qui accepte qu’on l’attache doit accepter qu’on le tire. Il n’y a pas une autre alternative. C’est ma loi de la nature.