Mobilité urbaine au Burkina Faso : Bientôt des dispositions palliatives
15 mars 2018, 15:55, par
Vision
J’ai la conviction que les autorités du B.F. n’ont pas une vision concernant la mobilité urbaine, notamment dans une ville sauvage comme Ouagadougou. Un constat : allez-y à Dakar au Sénégal où se trouvent au moins 4 types de transports urbains :
les bus ;
les taxis ;
les "Gana N’Diaye" (transport urbain géré par les Groupements d’intérêt économique (GIE)) ; (les nôtres peuvent aussi se regrouper en GIE et se procurer des cars pour le transport urbain au BF.)
les "Ouakam-Ouakam" et que sais-je encore...Résultat : il y a moins de motos, moins de véhicules et autres taxis chiffons, ...moins de pollution, moins d’accidents...).
Au Burkina, certaines autorités ne s’en préoccupent pas. Ils jouissent du pouvoir ; c’est ça qui ,compte en réalité pour eux. Aussi longtemps que les pouvoirs publics ne chercheront pas une solution pour limiter l’usage inconsidérée des mobylettes au Burkina en mettant l’accent sur les transports urbains collectifs, aucune politique ne viendra à bout de la pagaille et des nombreux morts par accident que connaît particulièrement Ouagadougou. Que le pouvoir en place quitte dans les forums et autres séminaires improductifs et prenne les bons exemples qui se passent ailleurs à travers le monde. Assez de bavardage car les gens meurent tous les jours, endeuillant de multiples familles, faute d’une politique de mobilité urbaine clairvoyante.
J’ai la conviction que les autorités du B.F. n’ont pas une vision concernant la mobilité urbaine, notamment dans une ville sauvage comme Ouagadougou. Un constat : allez-y à Dakar au Sénégal où se trouvent au moins 4 types de transports urbains :
les bus ;
les taxis ;
les "Gana N’Diaye" (transport urbain géré par les Groupements d’intérêt économique (GIE)) ; (les nôtres peuvent aussi se regrouper en GIE et se procurer des cars pour le transport urbain au BF.)
les "Ouakam-Ouakam" et que sais-je encore...Résultat : il y a moins de motos, moins de véhicules et autres taxis chiffons, ...moins de pollution, moins d’accidents...).
Au Burkina, certaines autorités ne s’en préoccupent pas. Ils jouissent du pouvoir ; c’est ça qui ,compte en réalité pour eux. Aussi longtemps que les pouvoirs publics ne chercheront pas une solution pour limiter l’usage inconsidérée des mobylettes au Burkina en mettant l’accent sur les transports urbains collectifs, aucune politique ne viendra à bout de la pagaille et des nombreux morts par accident que connaît particulièrement Ouagadougou. Que le pouvoir en place quitte dans les forums et autres séminaires improductifs et prenne les bons exemples qui se passent ailleurs à travers le monde. Assez de bavardage car les gens meurent tous les jours, endeuillant de multiples familles, faute d’une politique de mobilité urbaine clairvoyante.