Drogue : « Au Burkina, c’est la folie ou la mort », prévient Ousséni Touré
16 mars 2018, 19:34, par
Blaise Patrix
J’ai l’honneur d’être membre fondateur de Sagle Taaba. Je vis loin à présent et regrette de ne pouvoir me rendre plus utile.
A tous qui me lisez sachez que Sagle Taaba fait un travail extraordinaire avec très peu de moyen et beaucoup de dévouement : c’est en effet dans les écoles, les sites miniers, les prisons, que la prévention à propos du danger de la consommation des drogues peut être utile.
Je salue Ousseini et tous ses collaborateurs bénévoles pour la volonté, la générosité la lucidité de leur engagement face à une gangrène qui envenime la dignité de vivre ensemble non seulement le Burkina mais dans le monde entier.
J’ai l’honneur d’être membre fondateur de Sagle Taaba. Je vis loin à présent et regrette de ne pouvoir me rendre plus utile.
A tous qui me lisez sachez que Sagle Taaba fait un travail extraordinaire avec très peu de moyen et beaucoup de dévouement : c’est en effet dans les écoles, les sites miniers, les prisons, que la prévention à propos du danger de la consommation des drogues peut être utile.
Je salue Ousseini et tous ses collaborateurs bénévoles pour la volonté, la générosité la lucidité de leur engagement face à une gangrène qui envenime la dignité de vivre ensemble non seulement le Burkina mais dans le monde entier.