Burkina Faso : Les députés de la Vème Législature toujours privés de leurs droits !
16 février 2018, 22:14, par
Vérité
Je ne sais pas si je dois rire.Tellement j’ai l’impression de rêver. De génération en génération il a été dit que : " tout ce que vous faites vous revient. Bien ou mal". Le peuple se saignait pour vos clim, V8, villas, femmes... Pendant que le même peuple souffrait de ce que vous dites souffrir aujourd’hui. Ce même peuple a crié au secours, vous avez fermé vos oreilles ou monté vos vitres. Ce peuple vous a supplié en vain ! vous avez fumé vos vitres pour voire sans être vus. Vous avez même dit que vous avez modifié et que vous modifierez PIAN !!!. Tout un peuple s’est mis à genoux devant Gilbert, (l’autre Gilbert), celui qui seul à un moment donné dans la vie de la république pouvait arrêter le rouleau compresseur des Compaoré. Mais il a lâché le chien méchant sans aucun brin de compassion. La soupe était trop bonne pour la rater.
Alors, de grâce, ne vous moquez pas de ceux qui ont souffert, et qui continuent de souffrir ! Nous devons arrêter l’hémorragie de ceux qui saignaient depuis longtemps avant de venir à votre secours s’il nous reste encore de la force. Non seulement vous prenez le peuple pour mouton, mais vous voulez qu’il bêle en plus !
Je ne sais pas si je dois rire.Tellement j’ai l’impression de rêver. De génération en génération il a été dit que : " tout ce que vous faites vous revient. Bien ou mal". Le peuple se saignait pour vos clim, V8, villas, femmes... Pendant que le même peuple souffrait de ce que vous dites souffrir aujourd’hui. Ce même peuple a crié au secours, vous avez fermé vos oreilles ou monté vos vitres. Ce peuple vous a supplié en vain ! vous avez fumé vos vitres pour voire sans être vus. Vous avez même dit que vous avez modifié et que vous modifierez PIAN !!!. Tout un peuple s’est mis à genoux devant Gilbert, (l’autre Gilbert), celui qui seul à un moment donné dans la vie de la république pouvait arrêter le rouleau compresseur des Compaoré. Mais il a lâché le chien méchant sans aucun brin de compassion. La soupe était trop bonne pour la rater.
Alors, de grâce, ne vous moquez pas de ceux qui ont souffert, et qui continuent de souffrir ! Nous devons arrêter l’hémorragie de ceux qui saignaient depuis longtemps avant de venir à votre secours s’il nous reste encore de la force. Non seulement vous prenez le peuple pour mouton, mais vous voulez qu’il bêle en plus !