Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Moogho Naaba Baongho : Les Koglwéogos y étaient pour la présentation des vœux du nouvel an
12 février 2018, 17:01, par
Juste
Qu’est ce que le Mogho Naba devait faire si les Koglweogos demandent à lui présenter leurs voeux ? Refuser ? Non soyons sérieux. C’est parce qu’ils sont allés là bas qu’on a pu entendre ce qui s’est dit et cela n’est pas mal. ça permet d’anticiper sur certaines choses ; il appartient aux autorités de prendre leur responsabilité à présent. Au regarde de tout ce qui se dit et les agissements des uns et des autres, nous devons éviter d’enfoncer le clou dans un problème déjà difficile. Nous sommes attaqués au sahel, des apatrides ont fui vers d’autres pays et attendent la moindre faille pour nous déstabiliser, nous sommes pauvres et si en plus de tout ça nous nous rentrons ce sera pas bien. Le danger existe vraiment et il faut faire attention ; moi je n’ai pas de solution précise et j’éviterai même d’étaler ma solution ici parce que le problème à l’ouest est "initialement" déjà très complexe. Beaucoup de ceux qui interviennent ici ne savent pas que le problème des Koglweogos et Dozos est venu s’ajouter à un problème de cohabitation déjà très difficile mais qu’on "masque" depuis longtemps. Aux gouvernants de réunir les sociologues, anthropologues et autre spécialistes pour se pencher sérieusement sur la question parce que la "partition" du pays n’est pas loin ; or, ni les populations, ni les Dozos, ni les Koglweogos encore moins les gouvernants ne sortiront vainqueurs d’une telle situation.
Qu’est ce que le Mogho Naba devait faire si les Koglweogos demandent à lui présenter leurs voeux ? Refuser ? Non soyons sérieux. C’est parce qu’ils sont allés là bas qu’on a pu entendre ce qui s’est dit et cela n’est pas mal. ça permet d’anticiper sur certaines choses ; il appartient aux autorités de prendre leur responsabilité à présent. Au regarde de tout ce qui se dit et les agissements des uns et des autres, nous devons éviter d’enfoncer le clou dans un problème déjà difficile. Nous sommes attaqués au sahel, des apatrides ont fui vers d’autres pays et attendent la moindre faille pour nous déstabiliser, nous sommes pauvres et si en plus de tout ça nous nous rentrons ce sera pas bien. Le danger existe vraiment et il faut faire attention ; moi je n’ai pas de solution précise et j’éviterai même d’étaler ma solution ici parce que le problème à l’ouest est "initialement" déjà très complexe. Beaucoup de ceux qui interviennent ici ne savent pas que le problème des Koglweogos et Dozos est venu s’ajouter à un problème de cohabitation déjà très difficile mais qu’on "masque" depuis longtemps. Aux gouvernants de réunir les sociologues, anthropologues et autre spécialistes pour se pencher sérieusement sur la question parce que la "partition" du pays n’est pas loin ; or, ni les populations, ni les Dozos, ni les Koglweogos encore moins les gouvernants ne sortiront vainqueurs d’une telle situation.