Humeur : Une crise institutionnelle en gestation au ministère de la santé
31 janvier 2018, 02:29, par
Hadma
Nom monsieur, vous avez fait fausse route. Pouvez-vous nous indiquer où il mentionne à travers son post, qu’un infirmier veuille se substituer au médecin ? C’est tout le contraire à mon sens. Les médecins s’accaparent tout le blé du ministère alors qu’il n’y a pas que des médecins qui y (ministère) officient, pis, on demande d’accepter toutes les compétences sans distinction de corps. Le médecin (maîtrise+3) a mal quand un paramédical gère un poste de responsabilité où il fait office. C’est une jalousie mal placée et il faut admettre que le médecin peut avoir des carences quelque part qu’une autre compétence vient combler. Si l’Université est un temple pour le savoir, les écoles professionnelles n’en demeurent pas aussi moins. On peut organiser le système comme à l’enseignement pour minimiser les frustrations. Un Biologiste.
Nom monsieur, vous avez fait fausse route. Pouvez-vous nous indiquer où il mentionne à travers son post, qu’un infirmier veuille se substituer au médecin ? C’est tout le contraire à mon sens. Les médecins s’accaparent tout le blé du ministère alors qu’il n’y a pas que des médecins qui y (ministère) officient, pis, on demande d’accepter toutes les compétences sans distinction de corps. Le médecin (maîtrise+3) a mal quand un paramédical gère un poste de responsabilité où il fait office. C’est une jalousie mal placée et il faut admettre que le médecin peut avoir des carences quelque part qu’une autre compétence vient combler. Si l’Université est un temple pour le savoir, les écoles professionnelles n’en demeurent pas aussi moins. On peut organiser le système comme à l’enseignement pour minimiser les frustrations. Un Biologiste.