Burkina Faso : La Fondation Bill et Melinda GATES annonce une aide de plus de 23 milliards de FCFA
24 janvier 2018, 23:45, par
warzat
Alexio, cette fondation cultive l’excellence, pose des obligations de résultats aux agents qui travaillent pour elle. Elle utilise et amplifie nos approches locales et lorsque les résultats sont insuffisants, elle trouve les raisons et les corrige. Si fait que des fois pour améliorer ses résultats, elle embauche des chercheurs (statisticiens, sociologues, forestiers,biologistes, microbiologistes...) à cet effet. Ces chercheurs cherchent et trouvent avec des moyens de pointe que met la fondation à leur disposition. Elle applique alors les résultats des chercheurs Africains et améliore ses objectifs. On a ainsi des compatriotes chercheurs qui travaillent avec la fondation dans les pays anglophones. Pour revenir au sankarisme dont vous évoquiez à la fin de votre écrit, je vous dirais que l’un des chercheurs que je connais personnellement était un sankariste pure et dure, honnête qui restituait les trop perçus des frais de mission, un gars bien. Combattu par ceux que tout le monde connait, la fondation est venue le chercher parce qu’elle connaissait que c’est un bosseur et ses recherches de doctorat l’ont mis sur leur liste restreinte...la crème d’une grande université étrangère. Il a alors rejoint la fondation. La dernière fois où je l’ai rencontré à son passage au pays il m’a dit ceci : ’’frero, le travail me convient, il est dure, mais la paie est bonne’’. Il a commencé à faire des investissements au pays et embauchera au moins quelques jeunes cadres et d’ouvriers. Donc mon frère Alexio, tout n’est pas mauvais.
Alexio, cette fondation cultive l’excellence, pose des obligations de résultats aux agents qui travaillent pour elle. Elle utilise et amplifie nos approches locales et lorsque les résultats sont insuffisants, elle trouve les raisons et les corrige. Si fait que des fois pour améliorer ses résultats, elle embauche des chercheurs (statisticiens, sociologues, forestiers,biologistes, microbiologistes...) à cet effet. Ces chercheurs cherchent et trouvent avec des moyens de pointe que met la fondation à leur disposition. Elle applique alors les résultats des chercheurs Africains et améliore ses objectifs. On a ainsi des compatriotes chercheurs qui travaillent avec la fondation dans les pays anglophones. Pour revenir au sankarisme dont vous évoquiez à la fin de votre écrit, je vous dirais que l’un des chercheurs que je connais personnellement était un sankariste pure et dure, honnête qui restituait les trop perçus des frais de mission, un gars bien. Combattu par ceux que tout le monde connait, la fondation est venue le chercher parce qu’elle connaissait que c’est un bosseur et ses recherches de doctorat l’ont mis sur leur liste restreinte...la crème d’une grande université étrangère. Il a alors rejoint la fondation. La dernière fois où je l’ai rencontré à son passage au pays il m’a dit ceci : ’’frero, le travail me convient, il est dure, mais la paie est bonne’’. Il a commencé à faire des investissements au pays et embauchera au moins quelques jeunes cadres et d’ouvriers. Donc mon frère Alexio, tout n’est pas mauvais.