Bassolma Bazié radical, inflexible, rêveur ? Sa réponse
23 janvier 2018, 18:58, par
Ka
Lechris tu as raison de demander la flexibilité a monsieur Bassolma Bazié, mais quand on lutte en tant que responsable de syndicat surtout face à un régime comme celui de Roch Kaboré avec un premier ministre qui joue le chaud et le froid, ça devient automatique une lutte politique qui ne demande plus de flexibilité que dent pour dent, œil pour œil.
L’état est conscient que face aux syndicats, les travailleurs exploités ont un instrument ou ils s’entendent fermement pour lutter et avoir leurs intérêts de classe. Sans la fermeté et sans faille de Bassolma Bazié face à un premier ministre mouta mouta, il n’y aura jamais des ententes ni des gains pour la lutte des classes opprimés.
Actuellement l’état utilise des ruses pour piétiner les fonctionnaires en se basant le manque d’argent, mais il oublie que les syndicats savent la rentrée et la sorties d’argent qui reste stable dans notre pays pour satisfaire à leur revendication. C’est Pourquoi mon cher Lechris, le jeu entre syndicat et l’état est un jeu entre le chat et la sourie et cruel, dont la flexibilité n’a pas sa place qu’un dialogue franc.
Lechris tu as raison de demander la flexibilité a monsieur Bassolma Bazié, mais quand on lutte en tant que responsable de syndicat surtout face à un régime comme celui de Roch Kaboré avec un premier ministre qui joue le chaud et le froid, ça devient automatique une lutte politique qui ne demande plus de flexibilité que dent pour dent, œil pour œil.
L’état est conscient que face aux syndicats, les travailleurs exploités ont un instrument ou ils s’entendent fermement pour lutter et avoir leurs intérêts de classe. Sans la fermeté et sans faille de Bassolma Bazié face à un premier ministre mouta mouta, il n’y aura jamais des ententes ni des gains pour la lutte des classes opprimés.
Actuellement l’état utilise des ruses pour piétiner les fonctionnaires en se basant le manque d’argent, mais il oublie que les syndicats savent la rentrée et la sorties d’argent qui reste stable dans notre pays pour satisfaire à leur revendication. C’est Pourquoi mon cher Lechris, le jeu entre syndicat et l’état est un jeu entre le chat et la sourie et cruel, dont la flexibilité n’a pas sa place qu’un dialogue franc.