Assemblée nationale : L’art de faire du Salifou sans Salifou Diallo de Alassane Sakandé
11 janvier 2018, 15:44, par
Michou TOE
Correct mon frère. La mauvaise répartition et la gestion gabegique des ressources du pays créent des disparités inutiles qui s’éviteraient avec une bonne gouvernance flanquée d’une bonne vision. Comment prendre que des dirigeants dignes de ce nom vivent très loin de leur peuple économiquement, alors que nous sommes dans le pays. Ils aiment à comparer leur situation à celle d’autres pays qui paient chèrement leurs ministres, députés, et autres ; oubliant de comparer aussi les fonctionnaires ordinaires de ces pays aux nôtres. Un instituteur Ivoirien sortit fraichement de l’école et engagé toucherait dans les 300 000 FCFA, alors qu’un Burkinabé n’a même pas 100 000 FCFA. Et doit trimer une longue carrière pour avoir les 300 000 FCFA.
Alors que nos dirigeants eux aussi vivent en fonction des réalités de notre pays comme ils aiment à si bien le demander au peuple qui déjà même se sacrifie. Que le mesures de redressement salarial annoncées par le Président du Faso commencent par eux-mêmes, et nous comprendrons qu’ils sont sérieux.
Correct mon frère. La mauvaise répartition et la gestion gabegique des ressources du pays créent des disparités inutiles qui s’éviteraient avec une bonne gouvernance flanquée d’une bonne vision. Comment prendre que des dirigeants dignes de ce nom vivent très loin de leur peuple économiquement, alors que nous sommes dans le pays. Ils aiment à comparer leur situation à celle d’autres pays qui paient chèrement leurs ministres, députés, et autres ; oubliant de comparer aussi les fonctionnaires ordinaires de ces pays aux nôtres. Un instituteur Ivoirien sortit fraichement de l’école et engagé toucherait dans les 300 000 FCFA, alors qu’un Burkinabé n’a même pas 100 000 FCFA. Et doit trimer une longue carrière pour avoir les 300 000 FCFA.
Alors que nos dirigeants eux aussi vivent en fonction des réalités de notre pays comme ils aiment à si bien le demander au peuple qui déjà même se sacrifie. Que le mesures de redressement salarial annoncées par le Président du Faso commencent par eux-mêmes, et nous comprendrons qu’ils sont sérieux.