Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le Chef de file de l’opposition politique au Burkina, Zéphirin Diabré, convoqué à la gendarmerie
31 décembre 2017, 14:35, par
Maria de Ziniaré
Si c’est à propos de la plainte contre le ministre à la qualach, plainte connue de tout le Faso, il aurait été plus intelligent politiquement de le préciser pour des problèmes de communication. Le peuple veut savoir de quoi il s’agit il n’y a rien à cacher au peuple. Ne pas le faire c’est laisser le doute dans l’imaginaire populaire. Et comme nous vivons dans un état voyou qui ne respecte pas la loi, les amis et camarades de Diabré ont le droit d’envisager tous les scénarios. A la guerre comme à la guerre disait feu l’éminence grise du MPP alors souffrez que vos adversaires affûtent également leurs armes. Diabré n’est pas un orphelin social ni politique c’est une icône majeure du Faso et c’est l’occasion pour montrer qui il est puisque c’est la question que se pose l’ancien petit étudiant de Dijon quand il veut arrêter un citoyen. Dans un état de droit ce serait un fait banal et no comment’ mais avec ces paricides qui ont tué leur mentor pour prendre sa place, qui inventent leurs propres loi en fonction de leur intérêts, il faut être prudent comme un vieux sioux.
Si c’est à propos de la plainte contre le ministre à la qualach, plainte connue de tout le Faso, il aurait été plus intelligent politiquement de le préciser pour des problèmes de communication. Le peuple veut savoir de quoi il s’agit il n’y a rien à cacher au peuple. Ne pas le faire c’est laisser le doute dans l’imaginaire populaire. Et comme nous vivons dans un état voyou qui ne respecte pas la loi, les amis et camarades de Diabré ont le droit d’envisager tous les scénarios. A la guerre comme à la guerre disait feu l’éminence grise du MPP alors souffrez que vos adversaires affûtent également leurs armes. Diabré n’est pas un orphelin social ni politique c’est une icône majeure du Faso et c’est l’occasion pour montrer qui il est puisque c’est la question que se pose l’ancien petit étudiant de Dijon quand il veut arrêter un citoyen. Dans un état de droit ce serait un fait banal et no comment’ mais avec ces paricides qui ont tué leur mentor pour prendre sa place, qui inventent leurs propres loi en fonction de leur intérêts, il faut être prudent comme un vieux sioux.