« L’université n’est pas un champ de bataille politique, encore moins un cadre de lutte avant-gardiste de partis politiques... » (Baboué BAZIE)

En réalité, le mouvement étudiant fonctionne comme une mafia dont les parrains sont tapis dans l’ombre et commanditent souvent des actions pour faire chanter les gourvernants et leur soutirer des rançons en toute discrétion. C’est ainsi qu’a toujours fonctionné ce pays.