Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Avortement au Burkina : Lever le tabou et poser enfin le débat
26 décembre 2017, 19:50, par
kaos weogo
La santé dans nos pays est sous domination impérialiste et ses valets locaux qui répètent comme des perroquets ce que les grands bailleurs de fonds internationaux imposent comme "politiquement correct" et prioritaire dans un monde gouverné par les grands loby. Quand on aura permis à toutes les désireuses d’avortement de le faire, ce qui est un raccourcit convenable et populiste, politiquement correcte pour les bailleurs de fonds, notre conscience réelle nous poursuivra toujours : au lieu de laver votre conscience ne l’avez vous pas souillée ? Si on mettait autant d’énergie à montrer de la compassion et un soutien réel aux filles ou femmes victimes je reste convaincu que beaucoup penseraient à l’avortement en dernière position. Soutenons financièrement et humainement et psychologiquement ces filles et femmes et vous verrez que aucune femme burkinabè digne ne choisira de tué un enfant pour se sentir libre d’une violence subie ou autre.
La santé dans nos pays est sous domination impérialiste et ses valets locaux qui répètent comme des perroquets ce que les grands bailleurs de fonds internationaux imposent comme "politiquement correct" et prioritaire dans un monde gouverné par les grands loby. Quand on aura permis à toutes les désireuses d’avortement de le faire, ce qui est un raccourcit convenable et populiste, politiquement correcte pour les bailleurs de fonds, notre conscience réelle nous poursuivra toujours : au lieu de laver votre conscience ne l’avez vous pas souillée ? Si on mettait autant d’énergie à montrer de la compassion et un soutien réel aux filles ou femmes victimes je reste convaincu que beaucoup penseraient à l’avortement en dernière position. Soutenons financièrement et humainement et psychologiquement ces filles et femmes et vous verrez que aucune femme burkinabè digne ne choisira de tué un enfant pour se sentir libre d’une violence subie ou autre.