Opacité dans les recrutements dans les universités publiques du Burkina : Un autre témoignage accablant
28 novembre 2017, 09:11, par
Sidpawalemdé Sebgo
Désolé, mais votre comparaison/assimilation ne tient pas la route.
Ici, les profs favorisent des gens qu’ils connaissent sur la base de la famille, des intérêts, voir du "cirage de bottes". Et comme ces gens "proches" ne sont pas nombreux et ne sont généralement pas les plus compétents, on se retrouve avec des universités en manque d’enseignants et avec des enseignants "débrouillards". Pire, ils refusent de recruter des gens malgré qu’il y ait le besoin et que ces gens soient compétents.
L’exemple donné par ce citoyen est différent, parce que les profs ailleurs font tout pour recruter les étudiants brillants et prometteurs pour l’enseignement et la recherche dans leur université. Ils arrangent donc d’abord leur université et leur pays avant d’arranger l’étudiant, et la base ce n’est pas le cousinage mais l’excellence.
Si vous ne voyez pas la différence entre recruter une seule personne et le dernier de la classe parce que c’est un parent et laisser les meilleurs alors qu’on a besoin au moins d’une dizaine d’enseignants-chercheurs, c’est inquiétant (pour vous) !
Désolé, mais votre comparaison/assimilation ne tient pas la route.
Ici, les profs favorisent des gens qu’ils connaissent sur la base de la famille, des intérêts, voir du "cirage de bottes". Et comme ces gens "proches" ne sont pas nombreux et ne sont généralement pas les plus compétents, on se retrouve avec des universités en manque d’enseignants et avec des enseignants "débrouillards". Pire, ils refusent de recruter des gens malgré qu’il y ait le besoin et que ces gens soient compétents.
L’exemple donné par ce citoyen est différent, parce que les profs ailleurs font tout pour recruter les étudiants brillants et prometteurs pour l’enseignement et la recherche dans leur université. Ils arrangent donc d’abord leur université et leur pays avant d’arranger l’étudiant, et la base ce n’est pas le cousinage mais l’excellence.
Si vous ne voyez pas la différence entre recruter une seule personne et le dernier de la classe parce que c’est un parent et laisser les meilleurs alors qu’on a besoin au moins d’une dizaine d’enseignants-chercheurs, c’est inquiétant (pour vous) !