Immersion dans les cabarets de la ville de Ouagadougou
30 novembre 2017, 16:29, par
HIEN
Moi, je suis un grand amateur du dolo car ma maman fut la plus grande et la meilleure dolotière de mon village. J’apporte mon soutien à cette activité par amour pour ma mère. je lui ai construit un cabaret. C’est à grâce à ce métier que je suis quelqu’un aujourd’hui. Ma mère a financé mes études grâce à cette activité. Du regret pour les gens de là-ba (banfora précisement) qui stigmatisent le dolo. De toutes les mille manières, il est mieux que le bangui. Malheureusement votre reportage ne met pas beaucoup en exergue cette activité
Moi, je suis un grand amateur du dolo car ma maman fut la plus grande et la meilleure dolotière de mon village. J’apporte mon soutien à cette activité par amour pour ma mère. je lui ai construit un cabaret. C’est à grâce à ce métier que je suis quelqu’un aujourd’hui. Ma mère a financé mes études grâce à cette activité. Du regret pour les gens de là-ba (banfora précisement) qui stigmatisent le dolo. De toutes les mille manières, il est mieux que le bangui. Malheureusement votre reportage ne met pas beaucoup en exergue cette activité