Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Enquête sur des cas de corruption dans la magistrature burkinabè : Le Conseil de discipline a été saisi
3 novembre 2017, 10:11, par
Patinda
"J ai surtout peur de nos enfant qui sont venus de l autre cote...car ils n ont peur de rien" Parfaitement d’accord avec toi. La majeur partie de nos problèmes dans les services et dans la société viennent de ces frères et cousins dont certains n’ont aucun parent au Burkina. Ils n’ont donc ni pitié, ni honneur, ni sentiment face à l’argent. De plus, ils sont pressés de s’enrichir pour paraitre car ils aiment paraitre. Se faire voir. Bien s’habiller. Et vite. L’attention est tout le temps attirer mais on n’y peut rien. S’il n’est pas responsabilisé, il crée des problèmes. A diplôme égale, il se croit le plus méritant, traitant les autres de gaou ou de peu de classe. Ils prendront le pays un jour car on les laisse faire. C’est certain. Et les dégâts seront incommensurables car ils vont tout piller sans rien apporter, car en réalité, ils ne peuvent rien apporter. Des paresseux notoires ! Réfléchissons pour être un peu. Quelqu’un qui est né Burkinabè ailleurs et qui y reste pendant 25 ans, ses parents y vivent. Il revient, il fait un test, il entre dans l’administration publique et trois ans après, il doit diriger ses compatriotes qui sont ici depuis quarante ans. Quel amour pour la patrie il a ? Presque rien. Il ne pensera qu’à lui même. Pas plus. Ne fuyons pas les débats de fond
"J ai surtout peur de nos enfant qui sont venus de l autre cote...car ils n ont peur de rien" Parfaitement d’accord avec toi. La majeur partie de nos problèmes dans les services et dans la société viennent de ces frères et cousins dont certains n’ont aucun parent au Burkina. Ils n’ont donc ni pitié, ni honneur, ni sentiment face à l’argent. De plus, ils sont pressés de s’enrichir pour paraitre car ils aiment paraitre. Se faire voir. Bien s’habiller. Et vite. L’attention est tout le temps attirer mais on n’y peut rien. S’il n’est pas responsabilisé, il crée des problèmes. A diplôme égale, il se croit le plus méritant, traitant les autres de gaou ou de peu de classe. Ils prendront le pays un jour car on les laisse faire. C’est certain. Et les dégâts seront incommensurables car ils vont tout piller sans rien apporter, car en réalité, ils ne peuvent rien apporter. Des paresseux notoires ! Réfléchissons pour être un peu. Quelqu’un qui est né Burkinabè ailleurs et qui y reste pendant 25 ans, ses parents y vivent. Il revient, il fait un test, il entre dans l’administration publique et trois ans après, il doit diriger ses compatriotes qui sont ici depuis quarante ans. Quel amour pour la patrie il a ? Presque rien. Il ne pensera qu’à lui même. Pas plus. Ne fuyons pas les débats de fond