Vent d’extrémisme violent dans le Nord Burkina : Les origines sociologiques, économiques et politiques d’une crise aux relents identitaires et religieuses
26 octobre 2017, 11:04, par
kato
Soyons vigilants car je me méfie des rapports des ces instituts dont on ignore comment ils sont financer ; ils vont proposer des solutions qui arrangent après tout l’impérialisme et le capitalisme. si nous même au Faso, on ne peut cerner les contours du problèmes avec nos chercheurs dans les universités, c’est qu’on est mal barré. Même si ces deux rapports nous permettent de cerner les causes et facteurs de l’extrémisme violent dans le Nord du pays, il reste qu’ils proposent des solutions inadaptées. La seule solution qui vaille à mon avis, est le renfort des moyens sécuritaires, c’est tout. Si ’l’on veut gérer les causes endogènes, on est parti pour 20 ou 30 ans pour pouvoir résorber le problème. Car l’on pourra rarement éviter que des gens quittent le Mali et viennent frapper au nord et disparaître si l’on ne met les moyens sécuritaires conséquents. L’ avantage du cas de notre pays est que la partie , ou la zone victime des terroristes, n’est pas une grand espace comme au Mali, donc c’est actuellement qu’il faut contrer le mal avec les moyens militaires. Sinon si on s’amuse dans les années à venir, les radicaux pour pousser loin leurs pions.
Soyons vigilants car je me méfie des rapports des ces instituts dont on ignore comment ils sont financer ; ils vont proposer des solutions qui arrangent après tout l’impérialisme et le capitalisme. si nous même au Faso, on ne peut cerner les contours du problèmes avec nos chercheurs dans les universités, c’est qu’on est mal barré. Même si ces deux rapports nous permettent de cerner les causes et facteurs de l’extrémisme violent dans le Nord du pays, il reste qu’ils proposent des solutions inadaptées. La seule solution qui vaille à mon avis, est le renfort des moyens sécuritaires, c’est tout. Si ’l’on veut gérer les causes endogènes, on est parti pour 20 ou 30 ans pour pouvoir résorber le problème. Car l’on pourra rarement éviter que des gens quittent le Mali et viennent frapper au nord et disparaître si l’on ne met les moyens sécuritaires conséquents. L’ avantage du cas de notre pays est que la partie , ou la zone victime des terroristes, n’est pas une grand espace comme au Mali, donc c’est actuellement qu’il faut contrer le mal avec les moyens militaires. Sinon si on s’amuse dans les années à venir, les radicaux pour pousser loin leurs pions.