Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise à l’UPC : Le droit de réponse des militants de base aux députés de la Majorité
19 octobre 2017, 07:38, par
Kôrô Yamyélé
Soyons honnêtes, francs, sérieux et véridiques ! Cette bande des 13 députés a très mal fait de créer un autre groupe pparlementaire sans en discuter avec les instances de leur parti. Maintenant il passent dans les provinces pour continuer de tromper les militants de base. Voyez cette dame qui est allée raconter sa vie à Dédougou ! Pas la peine ! C’est un coup d’État qu’ils ont orchestré contre ZEPH mais ce fut le plus bête dans un parti politique.
Il faut que certaines vieilles momies du MPP soient maintenant sages ! Pourquoi chercher à destabiliser un autre parti, voire acheter ses députés. Et l’arrogant Somboro de dire que le pire est à venir. Ce type est vraiment pressé d’être ministre. Quand au nommé Kambou, c’est un vantard et c’est une véritable toxine dans l’UPC ! Il faut que le MPP comprenne que les jeunes de nos jours ne se laisserons plus faire comme dans l’ancien temps.
Soyons honnêtes, francs, sérieux et véridiques ! Cette bande des 13 députés a très mal fait de créer un autre groupe pparlementaire sans en discuter avec les instances de leur parti. Maintenant il passent dans les provinces pour continuer de tromper les militants de base. Voyez cette dame qui est allée raconter sa vie à Dédougou ! Pas la peine ! C’est un coup d’État qu’ils ont orchestré contre ZEPH mais ce fut le plus bête dans un parti politique.
Il faut que certaines vieilles momies du MPP soient maintenant sages ! Pourquoi chercher à destabiliser un autre parti, voire acheter ses députés. Et l’arrogant Somboro de dire que le pire est à venir. Ce type est vraiment pressé d’être ministre. Quand au nommé Kambou, c’est un vantard et c’est une véritable toxine dans l’UPC ! Il faut que le MPP comprenne que les jeunes de nos jours ne se laisserons plus faire comme dans l’ancien temps.
Par Kôrô Yamyélé