Rentrée judiciaire 2017-2018 : Le REN-LAC souhaite que la justice burkinabè présente désormais une image immaculée
2 octobre 2017, 15:55, par
BIENZI
A force de forger, on devient forgeron, n’est-ce pas ? Du courage REN-LAC, à force de critiquer, la justice finira par changer. Sinon, pour le moment, elle a la peau d’éléphant. Je l’ai souvent dit, que la corruption (corrupteur, corrompu) est d’abord une question d’éducation, ensuite de conscience professionnelle. Un enfant mal éduqué, même devenu adulte va toujours se comporter mal. Il y a un adage qui dit : "que le perroquet ne peut pas abandonner son cri". C’est dire que même si on donne cinq millions de francs par mois à chaque magistrat, cela n’empêchera pas la corruption. C’est au CSM de forcer les sanctions si les fautes sont avérées.
A force de forger, on devient forgeron, n’est-ce pas ? Du courage REN-LAC, à force de critiquer, la justice finira par changer. Sinon, pour le moment, elle a la peau d’éléphant. Je l’ai souvent dit, que la corruption (corrupteur, corrompu) est d’abord une question d’éducation, ensuite de conscience professionnelle. Un enfant mal éduqué, même devenu adulte va toujours se comporter mal. Il y a un adage qui dit : "que le perroquet ne peut pas abandonner son cri". C’est dire que même si on donne cinq millions de francs par mois à chaque magistrat, cela n’empêchera pas la corruption. C’est au CSM de forcer les sanctions si les fautes sont avérées.