« Si j’annule le meeting, ils diront que j’ai pris de l’argent avec le MPP », Pascal Zaida, du Cadre d’expression démocratique

Comme je l’ai souvent dit quand on parle de la lutte de classe, elle reste avant tout une lutte politique : Surtout de la Haute Volta au Burkina qui a été cité en exemple en Afrique pour la vitalité de sa lutte, qui est l’avant-garde des classes opprimées, et ‘’’’qui reste aussi comme pour le jeune Zaida que je ne partage pas son égoïsme pour ses semblables, dont sa lutte n’est rien qu’une stratégie a duper le monde.’’’’ Sa sortie sur ‘’’Si nous voulons la paix, donnons aux narcotrafiquants ce qu’ils veulent », suggère Pascal Zaida : ’’’’Nous a donné l’idée de l’homme caméléon à tromper toute la jeunesse de sa génération qui veut le changement dans ‘’’’Rien ne sera plus comme avant.’’’’ Je suis pour l’alternance politique et économique du Burkina avec la jeunesse, dont je lutte pour sa cause depuis Décembre 1999 ou notre frère et valeureux journaliste Norbert Zongo a été tué avec ses compagnons et brûlés dans sa voiture, et en participant avec leur nombre qui font la différence a toutes leurs manifestations. Mais avec une manifestation de ruse d’un homme qui dit le blanc aujourd’hui, et le noir le lendemain avec arrogance comme au temps de son CDP destructeur, dont la jeunesse est manipulée par des miettes de François Compaoré, n’a plus besoin d’être : Surtout pas après l’insurrection du 31 Octobre 2014. C’est pourquoi je dis a Mr Zaida, comme je lui ai toujours répété, soit en face de lui à BOBO en 2014, et de nos jours, dans mes critiques fondées, que quelquefois je pense que fermer sa gueule a une valeur théurgique, et il fera mieux de l’accomplir avant que le ciel ne le tombe pas dessus. Farouche partisan de l’alternance politique du Burkina avec sa jeunesse, je regrette qu’un jeune de son genre fasse partie de cette jeunesse. Tout dont je demande à nos décideurs du jour pour un Burkina qui veut avancer, ‘’une seule solution, est d’empêcher des dictateurs en herbe comme Zaida d’évoluer dans le beau pays que nous aimons tous.