Crise à SOPATEL Silmandé : L’Unité d’action syndicale veut passer à la vitesse supérieure
18 septembre 2017, 18:43, par
Indjaba
Ne chasser pas les investisseurs privés nationaux et internationaux. Quand un privé ne peut plus licencier , cela fait peur aux investisseurs =employeurs qui fuiront le Burkina. La conséquence, c’’est les emplois qui ne seront plus créés et on se retrouvera avec une situation où on aura 1 million de candidats pour 10000 postes a’ la fonction publique. j’’espère que l’état ne fera pas la force au patronat de l’hôtel. Par contre l’état doit s’assurer que les droits des travailleurs sont bien payés dans les règles de l’art.
Ne chasser pas les investisseurs privés nationaux et internationaux. Quand un privé ne peut plus licencier , cela fait peur aux investisseurs =employeurs qui fuiront le Burkina. La conséquence, c’’est les emplois qui ne seront plus créés et on se retrouvera avec une situation où on aura 1 million de candidats pour 10000 postes a’ la fonction publique. j’’espère que l’état ne fera pas la force au patronat de l’hôtel. Par contre l’état doit s’assurer que les droits des travailleurs sont bien payés dans les règles de l’art.