Restaurant-café Aziz Istanbul : Le personnel crie au secours
15 septembre 2017, 15:41, par
Bangbèda
Bon je suis fou, donc ce que je vais écrire est l’écrit d’un fou (ne me critiques pas si tu n’es pas fou).
Les burkinabè sont vraiment drôles. Les circonstances de ce drame sont particulières certes, mais attendez si le gouvernement devait financer toutes les entreprises qui ferment pour des causes exceptionnelles (inondations, vents violents, incendies, accidents, etc...) qui devrait payer la facture et où serions nous ?
Faut dire que vous vous sentiez bien la bas et que du jour au lendemain il n’y a plus de boulot donc plus de salaire...
Mon conseil :
1- Demandez aux assurances de gérer les réparations ;
2- Demandez à nos amis des syndicats de créer une caisse de soutient alimentée par les travailleurs syndiqués pour faire face à ce type de situations.
Mais de grâce, arrêtez d’exploiter la douleur et la misère des autres pour vos intérêts égoistes !
Bon je suis fou, donc ce que je vais écrire est l’écrit d’un fou (ne me critiques pas si tu n’es pas fou).
Les burkinabè sont vraiment drôles. Les circonstances de ce drame sont particulières certes, mais attendez si le gouvernement devait financer toutes les entreprises qui ferment pour des causes exceptionnelles (inondations, vents violents, incendies, accidents, etc...) qui devrait payer la facture et où serions nous ?
Faut dire que vous vous sentiez bien la bas et que du jour au lendemain il n’y a plus de boulot donc plus de salaire...
Mon conseil :
1- Demandez aux assurances de gérer les réparations ;
2- Demandez à nos amis des syndicats de créer une caisse de soutient alimentée par les travailleurs syndiqués pour faire face à ce type de situations.
Mais de grâce, arrêtez d’exploiter la douleur et la misère des autres pour vos intérêts égoistes !
Je suis fou hein !